C’est l’un des paradoxes du plan hydrogène français. Contrairement à l’Allemagne, la France ne mise pas officiellement sur la mobilité hydrogène. Hormis l’appel à projets de l’Ademe sur les écosystèmes territoriaux d’hydrogène, doté d’une enveloppe de 275 millions d’euros, qui a déjà fléché 32 projets, le plan hydrogène français cible prioritairement les équipements et la production d’hydrogène décarboné pour l’industrie et les transports lourds.
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