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Zones à faibles émissions (ZFE) : l’autre bombe sociale automobile

L’étude réalisée sur les ZFE par l’Institut CSA pour l’Association Eco Entretien et avec le concours de Franck Cazenave démontre au moins deux choses. On ne saurait se contenter de demi-mesures quand 15 millions de voitures sont concernées à court terme. Le risque d’injustice sociale est très élevé, et dangereux à la lumière de mouvements récents. Les explications de Franck Cazenave.

illustration d'une zone à faible émission
Franck Cazenave propose plusieurs propositions pour prendre le virage des ZFE avec efficacité mais sans discrimination sociale.

Quels faits saillants retenez-vous de cette étude sur les ZFE à laquelle vous avez participé avec l’Association Eco Entretien et l’Institut CSA ?

Franck Cazenave : Au premier chef, on constate une méconnaissance des ZFE : si 84 % des Français en ont entendu parler, ils ne sont que 37 % à en donner la bonne définition. À rapporter au fait que si 52 % des Français connaissent Crit’Air, ils ne sont que 29 % à donner le bon Crit’Air de leur voiture. Pire dans l’optique des ZFE, 14 % des possesseurs de véhicules Crit’Air 4 et 5 connaissent leur Crit’Air !

Retrouvez l’article sur Auto Infos.